19,5/20 et 5 toques au Gault et Millau
« A quoi reconnaît-on un grand cuisinier ? Au caractère de ses recettes, à sa capacité à apprivoiser même la simplicité, et bien sûr à révéler les saveurs… Ces qualités, Arnaud Lallement les possède toutes. Sans artifice, ses assiettes, rehaussées notamment de sauces magnifiques, réservent des émotions rares ! Le tout dans un cadre chic et moderne des plus agréables. »
3 étoiles au Guide Michelin
17,5/ 20 et 4 Toques au Gault et Millau
« Entouré par une équipe de grande valeur, Eric Pras dévoile des créations subtiles et réinterprète avec brio les classiques qui ont fait la réputation de cette illustre maison… Au cœur de la gastronomie française, l’enseigne brille toujours d’un superbe éclat, pour un moment d’exception. »
Partenariat Président Professionnel
15/20 et 3 toques au Gault et Millau
« Enfant au Japon, Kei Kobayashi découvre la gastronomie française à la télévision. Une révélation ! La majorité venue, il gagne l’Hexagone pour une formation dans les plus grandes maisons. Ce parcours s’incarne aujourd’hui chez lui, dans des menus métissés, finement composés, qu’il renouvelle régulièrement selon son inspiration. »
2 étoiles au Guide Michelin
16/20 et 3 toques au Gault et Millau
« Figure tutélaire de la cuisine lyonnaise, Eugénie Brazier (1895-1977) s’est sans doute penchée sur le berceau de Mathieu Viannay, Meilleur Ouvrier de France. Il insuffle son talent et son inspiration au cœur de cette maison emblématique, entre classicisme de haute volée et esprit de création. Quelle belle continuité ! »
19/20 et 5 toques au Gault et Millau
«Lorsqu’ils ont repris les rênes de la Marine en 1999, Céline et Alexandre Couillon avaient pour simple objectif de faire apparaître Noirmoutier sur la carte de France des bons restaurants. Ils ont fait bien mieux que ça : aujourd’hui, on vient leur rendre visite de très loin.La raison du succès est cette cuisine « marine et végétale », point de ralliement des poissons de l’Atlantique – maquereau, merlan, rouget, sole… – et des herbes et légumes issus des sols fertiles de cette petite île battue par les vents. Les préparations témoignent autant du talent d’Alexandre Couillon que de sa grande sensibilité : nul plat à la carte qui ne raconte une histoire, nulle saveur qui soit posée là par hasard.L’huître « Erika » évoque avec force la marée noire de 1999 ; le « Bois de la Chaize », un remarquable dessert à base de glace aux pignons de pin, ramène à nous un peu des odeurs de l’enfance. L’émotion affleure souvent, magnifiée par une équipe, en cuisine et en salle, parfaitement en phase avec les créations du chef. Une table qui va droit au cœur. »
15/20 et 3 toques au Gault et Millau
« Ambiance feutrée, miroirs, murs blancs sculptées et jolis fauteuils… Auguste sied bien à la cuisine de Gaël Orieux, un chef passionné et amoureux des produits. Ses plats ? Une quête d’harmonie et d’inventivité, mêlant finement la terre et la mer. Prix étudiés le midi, grand jeu le soir. »
1 étoile au Guide Michelin
14,5/20 et 2 toques au Gault et Millau
« Cadre chaleureux et contemporain, servant d’écrin à une séduisante cuisine « vérité » réalisée à quatre mains, avec une maîtrise technique évidente. Madame a été la première « Meilleur Ouvrière de France » ! »